Ils ont la fibre de la.. prospérité !


Equiper la jeune génération des meilleurs atouts, à l’heure où l’apprentissage de l’écriture se dégrade et où le temps passé par les jeunes devant des écrans est déjà colossal, entrainant diminution de la concentration et du temps de sommeil, ça n’est pas une simple question de tablette !


Comment sortir de la fascination de l’écran et aller au-delà du monde des "applis" ?

Les investissements très importants (50 millions d’euros sur 10 ans) pour le haut débit avec le déploiement, entre autre, de la fibre optique sur l’ensemble du territoire du département doivent justement être valorisés par ce que l’on en fera.

C’est en tant que bien public que ce réseau doit impérativement servir la population. Son accès, comme tout un ensemble d’autres biens et services publics, devra être facilité et à très faible coût pour les habitants du Tarn et Garonne.



Dans le cadre des élections départementales, nous proposons un "Observatoire du ciel" par département. Ce « collège astronomique » où des classes pourraient être faites, ouvert au public et aux entreprises, à la vie périscolaire mais aussi au tourisme, sera en lien avec l’ensemble des autres établissements scolaires du département pour apporter aux enfants une ouverture sur le monde hors du commun et les former aux métiers de demain.

La fibre ici, sera un vrai moyen de lier les « Observatoires du Ciel » aux habitants, aux institutions et au monde de l’entreprise pour développer la recherche, la santé, l’éducation et le partage.

Alors [..] pour familiariser les jeunes aux usages du numérique, pourquoi ne pas créer des « fablabs » dans les collèges, ces ateliers de conception d’objets sur imprimante 3D ?

Nous pensons qu’il vaudrait mieux donner l’occasion aux collégiens, par un usage collectif du numérique, d’expérimenter le lien entre virtuel et réel, entre conception sur logiciels et production physique… premier pas vers les métiers d’avenir.


Mais qu'est-ce qu'un FABLAB ?

Les FabLabs reposent sur les principes d’ouverture et de collaboration. Ils s’appuient sur des machines de fabrication numérique et des réseaux qui permettent de s’échanger des fichiers dans le monde entier. Un objet peut donc être conçu dans un FabLab, fabriqué dans un autre et amélioré dans un troisième.

Où trouve-t-on des FABLABS ?

On trouve désormais des FabLabs à travers le monde, en Inde, en Chine, en Egypte, en Allemagne, au Canada… On en dénombre environ 400 dans le monde et au moins une cinquantaine en France. Barcelone compte installer un FabLab dans chaque quartier de la ville !

Une excellente occasion pour Toulouse d’accueillir le « FabLab Festival 2015 » au mois de mai prochain > Evénement

Alors disons OUI au numérique pour la prospérité.

Mais dans un monde voué au profit immédiat d’une finance folle qui impose l’austérité à tous, cela n'est pas possible. Alors quid pour les générations futures ?

Le Conseil Général de Tarn et Garonne doit s'accorder d'urgence sur la stricte séparation des activités des banques. Pourquoi ? Cela imposera aux banques de redevenir ce qu'elles sont sensées être : un outil pour l’apprentissage, la formation et l’emploi et non pas de demeurer une courroie de transmission du saccage social et des restrictions budgétaires.

Ralliez ce combat, aidez-nous à changer ce monde : 0581 31 46 82





« Notre adversaire, c’est le monde de la finance »



Pour que l’avenir soit meilleur, il faut vaincre celle qui a tout ruiné : la finance folle. Il suffit d’une loi - envoyée à tous les députés et nous la tenons à votre disposition - et du courage pour la faire connaître et la faire voter - c’est là que notre candidature aux élections départementales entre en jeu.


Que dit cette loi ? C’est la loi 45-15 qui fut adoptée le 2 décembre 1945, nous libérant de l’occupant financier : une banque n’a pas le droit de se servir de l’argent des déposants pour spéculer. C’est le principe du Glass-Steagall Act adopté par Franklin Roosevelt en 1933 pour stopper Wall Street. Impossible ?

Plusieurs indications permettent de croire que la Banque centrale européenne (BCE) vit dans la crainte que le gouvernement d’Alexis Tsipras prépare des mesures de séparation bancaire de type Glass-Steagall Act.

Étant donné qu’une telle réforme figure aussi bien au programme de Syriza que celui des Grecs indépendants de Panos Kammenos, les deux partis formant le gouvernement de coalition actuellement au pouvoir, cette crainte pourrait se révéler justifiée.

Le Premier ministre-adjoint Yannis Dragasakis a amorcé depuis quelques semaines un processus de réorganisation des grandes banques grecques, dites à « caractère systémique », dont le gouvernement est l’actionnaire majoritaire à travers le fond de renflouement bancaire mis en place dans le cadre de l’accord de renflouement.

Jusqu’à présent, le gouvernement n’avait pas utilisé ses droits de gestion, mais Dragasakis a décidé qu’il allait dorénavant intervenir. Après avoir négocié avec les autres membres du conseil d’administration de ces grandes banques ainsi qu’avec les autres actionnaires, il a fait changer les membres de la direction des quatre plus grandes banques.

Même si les détails ne sont pas connus, l’objectif est de faire en sorte que les banques prêtent à nouveau aux acteurs de l’économie réelle. Selon des acteurs de la finance grecque, les décisions de Dragasakis s’accordent parfaitement aux promesses faites par le gouvernement, selon lesquelles les banques seraient gérées dans l’intérêt de l’économie réelle, et en particulier des citoyens, puisqu’elles ont été renflouées aux dépens du contribuable.

Notre campagne propose des avancées économiques, sociales, culturelles et dans les infrastructures… Mais aucun candidat ne pourra rien faire, tant que ce sont les banques qui leur donneront le la.